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Philippe Junod

Parallèlement à des études de lettres classiques et d’histoire de l’art achevées en 1961 à Lausanne, Philippe Junod étudie le piano et la musicologie avec Jacques Chailley et Nadia Boulanger à Paris, puis l’archéologie orientale. Il est membre de l’Institut suisse de Rome de 1965 à 1967. Il obtiendra son doctorat à la Faculté des Lettres de Lausanne en 1976 avec une thèse intitulée Transparence et opacité (elle sera publiée par L’Âge d’homme en 1967 et rééditée chez J. Chambon en 2004). C’est en 1971 qu’il débute son activité à l’Université de Lausanne où il sera professeur d’histoire de l’art moderne et contemporain jusqu’à sa retraite en 2003.

Présentation

Parallèlement à des études de lettres classiques et d’histoire de l’art achevées en 1961 à Lausanne, Philippe Junod étudie le piano et la musicologie avec Jacques Chailley et Nadia Boulanger à Paris, puis l’archéologie orientale. Il est membre de l’Institut suisse de Rome de 1965 à 1967. Il obtiendra son doctorat à la Faculté des Lettres de Lausanne en 1976 avec une thèse intitulée Transparence et opacité (elle sera publiée par L’Âge d’homme en 1967 et rééditée chez J. Chambon en 2004). C’est en 1971 qu’il débute son activité à l’Université de Lausanne où il sera professeur d’histoire de l’art moderne et contemporain jusqu’à sa retraite en 2003.

Philippe Junod a publié de nombreux ouvrages, dont La musique vue par les peintres, (Lausanne/Paris, 1988), Chemins de traverse : essais sur l’histoire des arts (2007), Marcel Amiguet : peintre, mélomane et aventurier (2013), De la fraternité des arts. Nouveaux contrepoints (2017, tous chez Gollion : Infolio). Il a participé au Dictionnaire européen des Lumières pour les Beaux-Arts et la Musique (Presses Universitaires de France, 1997) et écrit de nombreux essais et articles.

 

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